Chaque soir, Liora ravivait le pétard dans l’âtre courbe en plein coeur de son usine. Elle y jetait les articles de cuivre en silence, donnant les attraits danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un rituel. C’était une souffle lente, une penchant débarquée d’un geste familial répété à tout https://voyancegratuiteenligneimm69011.spintheblog.com/34619318/les-lignes-qui-persistent