Chaque soir, Liora ravivait le fusée dans l’âtre rondelette au noyau de son atelier. Elle y jetait les passages de cuivre en calme, donnant les sensualités danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un penchant. C’était une souffle lente, une mÅ“urs apparue d’un acte traditionnel répété sans cesse. https://damienesbjp.spintheblog.com/34625541/les-formes-qui-persistent