L’an 2999 n’était plus une temps, mais un croisée des chemins. Le macrocosme, éclaté en fragments temporels instables, vivait entre des failles ouvertes par les aînés portails quantiques. Depuis leur effondrement, tout déplacement dans le temps était devenu illégal. Trop d’ombres, beaucoup d’erreurs, infiniment de fantômes croisaient désormais les rues. https://andreswfkos.bloggactif.com/35370839/les-silhouette-de-rupture