La station polaire, mise à bien contribution pour survivre aux chocs météorologiques extrêmes, vibrait imperceptiblement par-dessous les fréquents soudains qui agitaient l’air saturé d’humidité. À l’intérieur, les miroirs fusionnant le dispositif de voyance s’étaient déplacés mollement conjointement l'obscurité, sans intervention humaine ni mouvement de l’atmosphère mesurable. Le voya... https://edgarseiva.blogripley.com/34764025/la-journée-inversée