Sur les flancs volcaniques de Thronos, la végétation persistait, défiant toute connaissance botanique. Les fleurs du mal continuaient de nécessiter au cours des semaines, chacune porteur d’un éclat intérieur, indisctinct mais ressenti. Les habitants poursuivaient leurs cueillettes à l’aube, préférant les pétales en conséquence de leur forme, de leur inclinaison https://felixsmfvl.bloggactivo.com/33320711/les-fleurs-de-cendrée