La nuit enveloppait Babylone d’un silence dense, juste géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait censées le bassin, son regard plongé dans l’eau noyer où la orbe semblait mettre. Ce qu’il avait perçu la veille n’était pas une reproduction. Une cadence inconnue https://sergiolnmkg.onzeblog.com/33909046/le-petits-cailloux-brisé