L’archéologue scrutait l’horizon, les sables dorées s’étirant de la même façon qu'un océan figé marqué par l'éclairage du soleil déclinant. Le vent continuait de forcer des volutes de poussière, mais son corps était ailleurs. Les ombrages qu’il avait vues un instant plus tôt n’avaient laissé zéro marque, zéro timbre dans https://waylonqzfkm.myparisblog.com/34372050/le-sable-et-les-planètes